mardi 30 septembre 2008

Communiqué/Press Release

Communiqué

Pour diffusion immédiate

William Hogg défendra le programme libéral postsecondaire dans Westmount-Ville-Marie

Sherbrooke (Université Bishop’s), le 1er octobre 2008. William Hogg, candidat libéral dans Compton-Stanstead, est fier de représenter non seulement Marc Garneau, candidat libéral dans Westmount-Ville-Marie, mais aussi le Parti libéral du Canada, lors d’un débat organisé par la Fédération canadienne des étudiants et étudiantes (FCEE) à l’université Concordia cet après midi.

« Marc Garneau m’a invité personnellement pour débattre devant les étudiants de l’université Concordia des enjeux postsecondaire. C’est un grand honneur pour moi de porter nos couleurs lors de cette confrontation. » affirme M. Hogg.

Le Parti libéral est le seul parti politique dans ces élections qui parle des vrais enjeux postsecondaires. « À part M. Layton du NPD, qui lance des promesses irréalistes sur l’éducation, nous sommes les seuls qui offrent des politiques concrètes à nos étudiants postsecondaires au Québec et au Canada. » lance M. Hogg.

Comme professeur d’études politique à l’université Bishop’s, M. Hogg a une expérience importante et pertinente dans le dossier. « J’ai hâte de faire face à nos opposants dans un domaine que je connais très bien » lance M. Hogg. « Les préoccupations de mes étudiants ont toujours été mes préoccupations, et je vais les amener au niveau de la politique active. »

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Contact : Marie-Sophie Demers (819) 345-4572
David Jobin (819) 345-9425

Press Release

For Immediate Distribution

William Hogg defends the Liberal Post-Secondary Education Platform in Westmount-Ville-Marie

Sherbrooke (Bishop’s University), October 1st, 2008. William Hogg, Liberal candidate in Compton-Stanstead, is proud to represent not only Marc Garneau, Liberal candidate in Westmount-Ville-Marie, but the Liberal Party of Canada, in a debate to be held this afternoon at Concordia University, organized by the Canadian Federation of Students (CFS).

“Marc Garneau invited me personally to debate post-secondary policy in front of the students of Concordia University” said Mr. Hogg “I am extremely proud to carry our colours during this confrontation.”

The Liberal Party is the only party that is speaking to the real post-secondary education issues during this campaign. “Besides Mr. Layton from the NDP, whose irresponsible promises are untenable, we are the only ones who offer a clear set of policy proposals to our post-secondary students in Quebec and across the country.” states Mr. Hogg.

As a professor of Political Studies at Bishop’s University, Mr. Hogg has the pertinent experience necessary to speak to this issue. “I am looking forward to debating our opponents on an issue that I know very well.” states Mr. Hogg “The concerns of my students have always been my concern, and I will be taking them with me into active politics.”

Contact : Marie-Sophie Demers (819) 345-4572
David Jobin (819) 345-9425

If Harper was a student at Bishop's

his academic career would be over (especially if he was my student). Plagiarizing a major foreign policy speech that may have sent Canadian soldiers to Iraq indicates a lack of leadership, but also a serious lack of respect for Canadians! Seriously...

(This is also a beauty...)

lundi 29 septembre 2008

Michael Ignatieff à Toronto: l'avenir du pays en jeu!

(English version follows)

Discours devant l’Economic Club de Toronto
Michael Ignatieff
Chef adjoint du Parti libéral du Canada et député d’Etobicoke-Lakeshore

Bonjour. Merci d’être là.
Nous en sommes à un point tournant dans cette campagne électorale. Les Canadiens prêtent attention maintenant. Ils écoutent attentivement. Ils savent qu’ils ont une décision importante à prendre. Malgré les experts, les sondeurs et les prévisions, ils n’ont pas encore fait leur choix.

La question qu’ils se posent est : à qui peuvent-ils faire confiance quand les temps sont durs?Le 14 octobre, les Canadiens ne choisiront pas seulement un parti. Ils vont choisir un gouvernement.Ils n’ont plus que deux choix sérieux : libéral ou conservateur.

Deux équipes sont encore dans la course.C’est l’heure des décisions.Ce n’est pas un choix entre deux personnalités. Ce n’est pas un choix entre deux chandails.

C’est un choix entre deux dossiers, un choix non pas entre des promesses, mais entre des réalisations.

Les Canadiens ont la mémoire politique longue. Ils se souviennent des réalisations des conservateurs, non seulement de ce gouvernement, mais aussi de ceux du passé.

L’autre jour, je parlais à un homme âgé dans une maison de retraite qui m’a dit : « Jeune homme – j’ai bien aimé cette partie-là – je suis assez vieux pour me souvenir de chaque gouvernement conservateur qu’on ait jamais eu. Je me souviens de M. Bennett pendant la Grande Dépression. Je me souviens de M. Diefenbaker, de M. Clark et de M. Mulroney. Il n’y en a pas un qui n’ait pas laissé le pays sans le sou. C’est tout ce que j’ai à dire. »

Les Canadiens se souviennent. Les temps conservateurs sont des temps difficiles. C’est dans le folklore de notre pays.Ils se souviennent que Brian Mulroney les a laissés avec un déficit de 42 milliards de dollars.

Ils se souviennent que quand les libéraux ont été élus en 1993, ils ont dû retrousser leurs manches pour nous en sortir.L’homme qui nous a sortis du déficit, l’homme qui a rétabli les finances publiques du Canada, est ici ce matin. Paul Martin.

Grâce à son leadership et à celui de Jean Chrétien, les libéraux ont fait du Canada le pays ayant les meilleures finances publiques du G8.

Un surplus de 12 milliards de dollars.

La main-d’œuvre la mieux éduquée au monde.

Un surplus dans le secteur du commerce.

Un surplus aux comptes courants.

Des « A » sur toute la ligne.

Où en sommes-nous aujourd’hui ? Après deux ans de Harper :

La pire performance du G8.

Une croissance négative du PIB durant la première moitié de cette année.

Des comptes gouvernementaux sur le bord du déficit.

Il ne reste aucun fonds de prévoyance dans le budget. Aucune marge d’erreur.

La pire situation pour notre productivité depuis 18 ans – une croissance de productivité négative cette année.

Stephen Harper est le premier Premier ministre en 50 ans à avoir vu la productivité canadienne chuter pendant son mandat. Et la litanie des échecs continue.

Près de 200,000 emplois perdus dans le secteur manufacturier au Canada depuis l’arrivée au pouvoir de Stephen Harper, dont la plupart ici, en Ontario.

Des milliers d’emplois perdus dans les comtés de la classe moyenne comme Etobicoke-Lakeshore, chez Stackpole, Arvin Meritor, Corning, Alberto Culver, avec d’autres compagnies comme Chrysler qui ne tiennent qu’à un fil.

En juillet dernier, la plus importante perte d’emploi mensuelle au Canada depuis 17 ans.

Des travailleurs sans emploi à Windsor et à Winnipeg, à Oshawa, à Welland, à Drummondville et à Smith Falls, de ville en ville, de circonscription en circonscription.

Je suis passé par Welland la semaine dernière et j’ai demandé aux travailleurs ce qu’ils pensaient de M. Harper. John Deere venait tout juste de fermer l’usine, avec des pertes de 1 000 emplois. Et de quoi a parlé Harper quand il est allé à Welland? De la vente de cigarettes de couleur aux enfants. Pas un mot pour ces travailleurs. Pas une syllabe.

C’est là où nous en sommes, mes amis, une économie en difficulté avec un Premier ministre qui ne veut pas l’admettre.Le centre du Canada et son secteur manufacturier font face à la pire crise dont on peut se rappeler, et y font face avec un gouvernement qui dit : n’investissez pas en Ontario.

Pire, nous faisons face à la crise avec un gouvernement qui ne croit pas vraiment au gouvernement.

Harper aime le pouvoir – il en veut autant qu’il peut en avoir – mais il n’aime pas le gouvernement.

Il renvoie les responsables de la sécurité nucléaire qui se trouvent sur son chemin. Il démantèle les inspections qui garantissent notre sécurité alimentaire.Il veut rapetisser le gouvernement, l’affaiblir au moment même où le monde entier se tourne vers leurs gouvernements pour nous sortir du désastre financier.

Il aime le pouvoir, Monsieur Harper, et il veut s’en emparer de plus en plus, mais il veut affaiblir le gouvernement au moment même où tout le monde se tourne vers leurs gouvernements afin de se protéger du désastre financier de Wall Street.

Les Canadiens ne veulent pas d’un gros gouvernement, ils veulent un gouvernement intelligent et compatissant pour s’assurer que leurs hypothèques soient protégées, que leur nourriture soit sécuritaire, que leurs emplois aient un avenir.

Ils veulent un gouvernement qui les aide à réaliser leurs rêves et non pas qui concrétise leurs peurs, un gouvernement qui est raisonnable, modéré, et aussi décent que la plupart des Canadiens.

Un gouvernement libéral.

Cette élection est une lutte pour le centre de la vie canadienne.

M. Harper veut vous faire croire que notre parti a quitté le centre. Il veut vous faire croire que nous sommes passés à gauche.

Il a tort.Le parti auquel je me suis joint en 1965, le parti de Mike Pearson, de Pierre Trudeau, de John Turner, de Jean Chrétien et de Paul Martin est un parti de centre.

Il l’a toujours été. Il le sera toujours.

Les libéraux croient à un plan financier solide, à un budget équilibré, à un taux d’imposition bas, à la responsabilité personnelle.

Ce qui nous distingue du NPD et du Parti Vert, c’est que nous croyons à l’économie de marché.Ce qui nous distingue des Conservateurs, c’est que nous croyons qu’il n’y a pas d’économie efficace sans une société juste.

Une société juste, où tous les citoyens sont égaux; où nous réussissons ensemble parce que nous prenons soin les uns des autres; où aucun Canadien n’est abandonné quand les temps sont durs; où aucun Canadien ne doit faire face seul à la pauvreté ou à la maladie.Une économie de marché demande une société de justice et d’égalité. Sans justice, sans égalité, pas d’économie efficace. C’est ça l’idée principale du libéralisme canadien.

Ce n’est pas le Canada de Harper.

C’est un Canada libéral.Cette élection est une lutte pour le centre, une lutte entre deux visions différentes de notre pays.Cette élection est une bataille pour le centre, une bataille entre deux visions différentes de notre pays.

La position des libéraux a défini le centre de notre vie nationale. Nous avons défini un terrain d’entente propre aux Canadiens.

Grâce à nous, le Canada a une Charte des droits et libertés, l’assurance maladie, le Régime de pensions du Canada, un drapeau et un hymne national.

Nous sommes fiers de cette tradition et nous pouvons dire dignement que nous avons fait notre part dans la construction de ce pays.

Nous ne laisserons pas Stephen Harper le démanteler.M. Harper n’a pas d’agenda caché.

Il ne cache rien du tout.

Il veut déloger le Parti libéral du centre de la vie publique canadienne et le remplacer par le Parti conservateur en tant que parti du gouvernement.

Il veut déplacer le centre de gravité du Canada un, deux, trois, dix degrés vers la droite.

Il veut créer un Canada moins juste, moins tolérant, moins uni.

Il a déjà dit aux Canadiens que quand il en aura fini avec le pays, ils ne le reconnaîtront plus.

Si Harper est élu, vous allez vous réveiller dans un pays que vous n’allez plus reconnaître comme le vôtre.

Nous ne pouvons pas laisser cela se produire. C’est ça l’enjeu de cette élection.

Harper essaie de vous faire croire que cette élection porte sur le leadership.Depuis quand est-ce qu’il a le droit de définir ce qu’est le leadership?Certainement pas le leadership économique.

L’homme qui a dévasté les épargnes de millions de personnes avec l’imposition des fiducies de revenu. Ce n’est pas du leadership. C’est du vandalisme.

L’homme qui a hérité d’un surplus de 12 milliards de dollars et qui l’a réduit au déficit. Ce n’est pas du leadership. C’est de l’irresponsabilité.

L’homme qui a regardé le secteur manufacturier s’effondrer. Ce n’est pas du leadership. C’est de l’insensibilité.

L’homme qui s’est querellé avec au moins quatre provinces. Ce n’est pas faire preuve de leadership. C’est semer la discorde.

L’homme qui dit que tout va bien avec l’économie canadienne. Ce n’est pas du leadership. C’est de l’illusion volontaire. C’est peut-être pire encore.

Le Premier ministre a renié sa propre promesse sur les élections à date fixe pour forcer des élections pendant qu’il peut encore se faufiler jusqu’au pouvoir, sans que les Canadiens réalisent à quel point la situation économique est grave.

Ce n’est pas du leadership. C’est de la manipulation.

Les Canadiens ne se laisseront pas manipuler. Ils ne se laisseront pas tromper.

M. Harper essaie de gagner une élection sans admettre que la situation économique est grave et qu’il n’a pas de plan pour affronter la crise. Ce n’est pas du leadership. C’est de la manipulation.

Les Canadiens savent que quelque chose ne va pas.

Ils savent que Harper n’a pas de plan.

Il a surfé pendant deux ans et demi sur les surplus et la bonne gestion financière que Paul Martin leur a laissés. Maintenant, la planche de surf de Harper l’a laissé tomber et il ne sait plus quoi faire.

Il voit devant lui :

La menace d’un déficit.
Un resserrement du crédit.
Une économie américaine en récession.
Les prix de l’énergie qui montent en flèche.
Une inflation à la hausse.
La productivité à la baisse.

Il n’a pas de plan. Il n’a aucune idée.

Mais il a une idéologie, et quand il n’a pas de plan, un homme comme Harper revient à ses instincts.

Nous avons déjà vu où ses instincts le mènent : des coupures dans les arts et la culture – se présenter contre les artistes et les traiter comme des snobs élitistes.

Des coupures dans les programmes pour les femmes – les traiter comme n’importe quel autre groupe d’intérêt libéral. 52 % du pays, un groupe d’intérêt ?

Ces coupures, souvenez-vous, sont arrivées pendant que nous étions en surplus.Imaginez les coupures qui s’en viennent quand il nous mènera au déficit.

S’il gagnait cette élection, il y aurait des coupures dans la santé, dans l’assurance-emploi, dans les pensions, et une hausse des frais de scolarité.

Des coupures qui vont dévaster la classe moyenne de notre pays, au moment même où elle a besoin de l’aide de son gouvernement.

Il y a un fil conducteur dans tout ça. Il aime le pouvoir, mais il est au pouvoir pour dévaster le gouvernement et réduire sa capacité de protéger les Canadiens en temps de crise.

Nous avons déjà vu ça. Ça s’appelait la Révolution du bon sens.

Quatre de ses ministres sont des vétérans du gouvernement de Mike Harris. Peu de gouvernements dans l’histoire récente du Canada étaient aussi impopulaires quand ils ont quittés le pouvoir, et il a fallu des années pour effacer ce qu’ils ont laissé derrière eux : un déficit de cinq milliards de dollars.

Nous avons été avertis. Nous ne pouvons pas laisser cela se produire encore.

Harper se vante de son leadership, mais laissez-moi vous raconter une histoire de vrai leadership.

Un train passait dans le centre d’une petite ville au Québec où je passais mes étés et mon père m’a dit un jour que si on place son oreille contre les rails, on peut entendre un train avant de le voir. Et nous l’avons essayé. Et c’était vrai.

Je me rappelle de ce que mon père m’a dit comme d’une idée de ce qu’est le leadership.Un leader est quelqu’un qui entend le train avant que les autres puissent le voir.

Le train qui arrive est un train de changement. Si on ne l’entend pas arriver à temps, il va nous écraser. Si nous ne le guidons pas vers la bonne voie, il va y avoir un déraillement. Nous avons besoin d’un plan économique. Le voici.

Premièrement, pour guider le train de l’endettement vers la bonne voie, nous avons besoin d’un gouvernement qui croit au gouvernement, qui réglemente les marchés, qui travaille pour garantir que nos hypothèques soient protégées, que notre nourriture soit sécuritaire, que nos investissements soient solides et que nos emplois aient un avenir. Un gouvernement libéral fait confiance aux institutions qui règlementent les marchés dans notre pays – après tout, la plupart d’entre elles ont été créées par nous – mais après le 14 octobre, nous voudrons les passer en revue pour s’assurer que les hypothèques, les investissements et les épargnes des Canadiens sont en sécurité.

Deuxièmement, pour guider le train des coûts énergétiques vers la bonne voie, nous devons appuyer sur le bouton vert dès maintenant. Nous avons besoin d’un gouvernement qui aide chaque maison, chaque lieu de travail, chaque usine à réduire ses coûts énergétiques.

Quand vous parlez aux travailleurs de l’usine de Chrysler sur Brown’s Line dans ma circonscription, ils vous disent qu’à moins de réduire leurs coût énergétiques, ils vont devoir fermer.

Ces travailleurs savent qu’être vert, ce n’est pas du luxe. Ils savent que ça ne ruinera pas l’économie. Prendre le tournant vert aujourd’hui, c’est la clé de notre compétitivité et de notre habileté à gagner des parts de marché. Il n’y a que Stephen Harper qui ne comprend pas.

Il présente cette élection comme un choix entre le statu quo et le risque.Les travailleurs de ma circonscription savent que le statu quo n’est plus une option. Nous perdons des emplois maintenant.

Nous devons changer pour prospérer. Nous devons rendre l’économie plus verte pour être compétitifs.

Troisièmement, nous devons investir dans l’infrastructure pour garder notre économie en mouvement : transport urbain rapide, réseau énergétique national, traitement des eaux.

Quatrièmement, nous devons réduire l’impôt sur le revenu et le capital pour libérer des fonds pour l’investissement.

Cinquièmement, nous devons mettre un prix sur le carbone pour que nous puissions devancer nos compétiteurs énergivores.

Sixièmement, nous devons arrêter de nous opposer aux provinces et commencer à travailler avec elles.

Pour résumer le tout. Les libéraux croient à :

Une gestion fiscale solide.
Des budgets équilibrés.
Une réglementation intelligente des marchés.
Des coupures d’impôt sur les profits et le revenu.
L’assignation d’un prix sur la pollution.
De l’aide pour chaque secteur de l’économie pour l’utilisation plus efficace de l’énergie.
Des investissements dans les infrastructures en difficulté au point de vue économique.
Des investissements en éducation, en sciences et en recherche.
La transformation de la fédération du champ de bataille en partenariat.

Ça me semble un bon plan.

C’est un peu comme mettre son oreille contre les rails et tirer sur le levier avant que le train ne déraille.

Choisissez l’équipe Dion. Nous entendons le train arriver.

Restez avec Harper et le déraillement va se produire.

En passant, Jack Layton ne peut pas arrêter Stephen Harper.

Rappelez-vous, Jack Layton nous a donné Stephen Harper. Le gouvernement Harper est l’œuvre de Jack Layton.

Changeons cela.

Choisissons un gouvernement en qui nous pouvons avoir confiance quand les temps sont durs. Un gouvernement libéral.

Cette élection, finalement, porte sur la confiance.

La confiance se bâtit à deux, vous savez. Nous, les libéraux, nous avons toujours fait confiance aux Canadiens : à leur imagination, à leur travail, à leur foi et à leur amour pour leur pays. Nous, les libéraux, nous avons travaillé dur, du temps de Laurier jusqu’à aujourd’hui, pour gagner, pour mériter la confiance des Canadiens.

Vous nous avez récompensés par votre confiance, une élection après l’autre, parce que vous savez que nous voulons vous voir gagner ; parce que vous savez que notre Canada, c’est votre Canada ; parce que vous croyez ce que nous croyons :Qu’il n’y a aucune crise, aucun défi, aucun moment difficile qui n’est pas aussi une possibilité, une possibilité de montrer au monde ce dont les Canadiens sont capables.

Nous sommes capables de grandes choses. Nous sommes coriaces, disciplinés, raisonnables, tolérants, décents, modérés. C’est ce que nous sommes. C’est ce que les Canadiens veulent d’un gouvernement le 14 octobre.

Merci.

Speech to the Economic Club of TorontoBy Michael Ignatieff, Deputy Leader of the Liberal Party of Canada and Member of Parliament Etobicoke-Lakeshore

Good morning. Thanks for being here.
We are at a turning point in this election. Canadians are paying attention now. They're listening carefully.They know they have a big decision to make. Pundits, pollsters and prognosticators notwithstanding, they haven't made up their minds yet. The question they're asking is: who should they trust when times are tough?
On October 14, Canadians are not just choosing a party. They're choosing a government.
Only two serious choices remain: Liberal or Conservative.
Only two teams remain contenders. It's decision time.
This isn't a choice between personalities. This isn't a choice between sweaters. This is a choice between records, a choice not between promise but between accomplishment.
Canadians have long political memories. They remember the Conservative record, not just for this government but for the ones stretching back into the past.
The other day I was talking to a senior in a retirement residence who came up to me and said, "Young man — I liked that part — I'm old enough to remember every Conservative government we've ever had. I remember Mr. Bennett during the Depression. I remember Mr. Diefenbaker, Mr. Clark and Mr. Mulroney. There wasn't one of them that didn't leave this country dead broke. That's all I got to say."
Canadians remember. Tory times are tough times. It's in the folklore of our country.
They remember that Brian Mulroney left them with a 42-billion dollar deficit. They remember that when the Liberals were elected in 1993, they had to roll up their sleeves, take out a shovel and dig us out.
The man who dug us out of deficit, the man who restored the public finances of Canada is here this morning. Paul Martin.
Thanks to his leadership and Jean Chretien's steady hand, the Liberals left this country with the best public finances of any country in the G 8:
A 12-billion dollar surplus.
The world's best-educated workforce
A trade surplus.
A current account surplus.
Straight A's across the board. Where do we stand today? After two years of Harper.
The worst performance in the G8.
Negative growth in GDP through the first half of this year.
Government accounts on the brink of deficit.
No contingency left in the budget. No margin for error.
The worst productivity picture in 18 years — productivity growth has been negative this year.
Stephen Harper is the first Prime Minister in 50 years to preside over an actual decline in Canadian productivity. The litany of failure goes on.
Almost 200,000 manufacturing jobs lost in Canada since Stephen Harper took power and most of them here in Ontario.
Thousands of jobs lost in hard-working middle class ridings like Etobicoke-Lakeshore, at Stackpole, Arvin Meritor, Corning, Alberto Culver and other good companies like Chrysler hanging on by a thread.
In July alone, the single biggest Canadian monthly job loss in 17 years.
Unemployed workers in Windsor and Winnipeg, Oshawa, Welland, Drummondville and Smith Falls, in town after town, riding after riding.
I happened to be in Welland last week and I asked workers what they think of Mr. Harper. John Deere has just shut down the plant with a loss of 1, 000 jobs and what does Harper talk about when he comes to Welland? Selling coloured cigarettes to children. Not a word for those workers. Not a syllable.
That's where we are, folks, an economy in difficulty with a Prime Minister in denial.
Central Canada is facing the most serious crisis in the manufacturing sector in living memory, facing it with a government who says: Don't invest in Ontario.
Worst of all, we are facing the crisis with a government that doesn't actually believe in government.
Harper loves power — he wants as much of it as he can get his hands on — but he doesn't like government.
He fires nuclear regulators who get in his way. He dismantles the inspections that keep our food safe.
He wants to shrink government, weaken it at exactly the moment when the whole world is turning to government to dig us out of this financial mess.
Mr. Harper loves power and he wants to consolidate it, but he wants to weaken government at the same time as the whole world is turning to their governments to protect them from the financial disasters on Wall Street.
Canadians don't want big government, they want smart compassionate governments to ensure that their mortgages are secure , their food is safe, their jobs have a future.
They want a government that appeals to their dreams instead of pandering to their fears, a government that has a plan, not an ideology, a government that is as sensible, middle of the road and as decent as most Canadians are.
A Liberal government.
This election is a battle for the center ground of Canadian life.
Mr. Harper wants you to believe our party has abandoned the center ground. He wants you to believe we have swung left.
He's wrong.
The party I joined in 1965, the party of Mike Pearson, Pierre Trudeau, John Turner, Jean Chretien and Paul Martin is a party of the center. Always has been. Always will be.
Liberals believe in sound money, balanced budgets, low taxes, personal responsibility.
What separates us from the NDP and the Greens is that we believe in a competitive market economy.
What separates us from the Conservatives is that we believe you can't have an efficient economy without a just society.
A just society — where every citizen is equal; where we succeed together, because we look after each other; where no Canadian goes to the wall when times are tough; where no Canadian has to walk the lonely road of poverty or ill health alone.
A market economy demands a just and equal society. You can't have an efficient economy, without a just and equal society. This is the key idea behind Canadian liberalism.
That's not Harper's Canada.
That's a Liberal Canada.
This election is a battle joined for the center ground, a battle between two competing ideas of what our country is.
This election is a battle for the centre, a battle between different visions for our country.
Where we Liberals planted the stake defined the center of our national life.
We defined the common ground that Canadians could call their own.
Thanks to us, Canada has a Charter of Rights and Freedoms, Medicare, the Canada Pension Plan, a flag and an anthem.
We are proud of that tradition, and we can justly claim as a party, that we've done our part to build this country.
We won't let Stephen Harper dismantle it.
Mr. Harper doesn't have a secret agenda.
There's no secret at all.
He wants to dislodge the Liberal Party from the center of Canadian public life and replace it with the Conservative Party as the party of government.
Then he wants to move the center of gravity of Canada one two three, ten degrees to the right.
He wants to create a Canada less equal, less tolerant, less fair, less just and less united.
He's already told Canadians that when he's finished with the place, they won't recognize it.
If Mr. Harper is elected, you will wake up in a country that Canadians will no longer recognize as their own.
We must not let this happen.
That is what this election is about.
Harper wants to tell you this election is about leadership.
Since when does he have the right to define what leadership is?
Certainly not economic leadership.
The man who devastated the savings of millions when he wiped out income trusts. That's not leadership. It was vandalism.
The man who inherited a 12-billion dollar surplus and frittered it down to deficit. That's not leadership. It's irresponsibility.
The man who has stood by and watched the Canadian manufacturing sector bleed in the water. That's not leadership. It's callousness.
The man who's picked a fight with at least four provinces. That's not leadership. That's divisiveness.
The man who says all's well with the Canadian economy. That's not leadership. It's willful self-delusion.
It may be something worse. This Prime Minister broke his own fixed election promise to force an election now, so he can sneak back into power, without Canadians realizing just how bad the economic situation is.
That's not leadership. That's manipulation.
Canadians will not be manipulated. They will not be fooled.
Mr. Harper is trying to win an election without admitting we are in a difficult economic situation and he doesn't have a plan to address the crisis.
That's not leadership. That's manipulation.
Canadians know something is wrong.
They know Mr. Harper has no plan.
He's been surfing for two and a half years on the surpluses and sound fiscal management Paul Martin left behind.
Now Harper's surfboard has stranded him on the shingle and he doesn't know what to do.
He's staring at:
a looming deficit,
a credit crunch,
an American economy in recession,
surging energy prices,
rising inflation,
falling productivity.
He has no plan. No idea. No clue
But he does have an ideology, and when you have no plan, a man like Harper falls back on his deepest instincts.
We've already seen where his instincts lead him: cuts to arts and culture — run against artists, brand them as elitist snobs.
Cuts to women's programs—brand women as just another liberal interest group. 52 per cent of the country an interest group?
These cuts, remember, happened while we were in surplus.
Imagine the cuts that are coming when he leads us into deficit.
If he were to win this election, there will be cuts to health care, to unemployment insurance, to pensions, higher tuition fees.
Cuts that will devastate the middle class of our country, at exactly the moment when they turn to their government for help.
There is method in this madness. He likes power, but he is in power to devastate government, to reduce its capacity to protect Canadians in time of trouble.
We've been here before. It was called the Common Sense Revolution.
Four of his ministers are veterans of the Mike Harris government. Few governments in modern Canadian life were more disliked when they left power, and what they left behind took years to clean up: a five-billion dollar deficit.
We've been warned. We must not let this happen again.
Harper struts his leadership, but let me tell you a story about what real leadership is like.
A train used to run through the center of a little town in Quebec where I spent some summers, and my father once told me that if you put your ear to the rails you could hear a train before you could see it. And we did. And you could.
What my father told me has stayed in my mind as an idea of what a leader is.
A leader is someone who hears the train before the rest of us can see it.
The train that is coming down the track is a freight train of change. If we don't hear it coming in time, it's going to flatten us. If we don't guide it down the right track, there's going to be a train wreck.
We need an economic plan. Here it is.
First, to guide the train of bad debt onto the right track we need a government that believes in government, that regulates markets, that works to guarantee that our mortgages are safe, our pensions secure, our investments solid and our jobs have a future.
A Liberal government has confidence in the institutions that regulate markets in our country—we put most of them in place after all—but after October 14, we will want to review them all to make sure that Canadian mortgages, investments and savings are safe.
Second, to guide the train of surging energy costs onto the right track, we need to flick the green switch now.
We need a government that helps every home, business, and factory to cut its energy costs.
When you talk to the workers at the Chrysler Casting plant on Brown's Line in my riding, they tell you, that unless we get our energy costs down, we're out of business.
These workers know that going green is not a luxury. They know that it won't ruin the economy. Going green now is the key to our ability to compete and gain market share. Only Stephen Harper doesn't get it.
He presents this election as a choice between the status quo and risk.
The workers in my riding know the status quo is no longer an option. We are bleeding jobs right now.
We need to change in order to prosper.
We need to green this economy in order to be competitive.
Third, we need to invest in infrastructure to keep our economy moving: rapid transit, a national energy grid, sewage treatment and clean water.
Fourth, we need to cut taxes on income and capital in order to free up money for investment.
Fifth, we need to put a price on carbon so we can get ahead of energy-wasting competitors.
Sixth we need to stop running against the provinces and start working with them.
To sum up, Liberals believe in:
Sound fiscal management.
Balanced budgets.
Smart regulation of markets.
Tax cuts on profits, revenue and income.
Putting a price on pollution.
Helping every sector of the economy to use energy more efficiently.
Investing in economically critical infrastructure.
Investing in education, science and research.
Turning the federation from a battlefield into a partnership.
That sounds like a plan to me.
That sounds like putting your ear to the rail and throwing the switch before the train jumps the track.
Choose the Dion team. We hear the train coming.
Stay with Harper and the train wreck happens.
And by the way, Jack Layton can't stop Stephen Harper.
Remember, Jack Layton gave us Stephen Harper. The Harper government is the house Jack built.
Let's bring the house down. Let's get a government we can trust in tough times. A Liberal government.
This election finally is about who you trust.
Trust goes two ways, you know.
We Liberals have always trusted the Canadian people: their imagination, hard work, faith and love of country.
We Liberals have worked hard — from Laurier's time to this — to earn, to deserve the trust of Canadians.
You have rewarded us with your trust, election after election, because you know we want you to win; because you know our Canada is your Canada; because you believe what we believe:
That there is no crisis, no challenge, no moment of difficulty which is not also an opportunity, an opportunity to show the world what we Canadians are made of.
We are made of good stuff. We're tough, disciplined, sensible, tolerant, decent, middle of the road people. That's who we are. That's what Canadians are looking for in a government on October 14.

Thank you. Merci.

dimanche 28 septembre 2008

Football, la messe, et la culture

Deux journées assez chargées merci! Hier, porte-à-porte à Rock Forest le matin, ensuite tailgate à Bishop's. Suivi par une course entre deux soupers, un à Hatley, l'autre à Rock Forest à la FADOQ.

Aujourd'hui , messe à l'église St. Jean à Coaticook, suivie par un brunch (en passant, j'étais très content de voir une église remplie avec tant de gens...). Ensuite, la course pour aller à Weedon pour 13h30 pour un événement culturel (145e anniversaire de Weedon!).

I haven't seen La Madame since the debate, and not an activity since Ste. Élie last week - either she is in the wrong places or I am... ;)

A+

samedi 27 septembre 2008

Il cache quoi, lui?

(photo: Le Reflet du Lac)

Citation de Maurice Cloutier, redacteur en chef de la Tribune (27 septembre 2008):

"Le candidat conservateur dans Compton-Stanstead, Michel Gagné, refuse carrément toutes les occasions de défendre publiquement ses idées et celles de son parti. Jeudi soir, il était encore absent d'un débat, celui tenu à l'université Bishop's. Il brillera aussi par son absence à celui qu'organisera La Tribune la semaine prochaine, à moins d'un revirement. Son attitude est inadmissible. Le parti conservateur doit rappeler à l'ordre son candidat, car il est très inquiétant de penser que cette formation endosse le comportement du candidat Gagné."

Citation de Daniel Nadeau, collaboration spéciale, La Tribune (27 septembre 2008):

"Parenthèse: parlons localement. Un candidat qui refuse de débattre ne mérite pas de se faire élire. Ignorons-le. Point final."

Bref, vous savez quoi faire...

vendredi 26 septembre 2008

Jeudi, Vendredi, et on continue!

(photo: La Tribune)

Thursday was the big English debate in the riding. Once again, our Conservative candidate chickened out. Un vrai pissou... This is not an order from their party - all the other regional Conservatives are present during their debates. Gagné doesn't care about our riding, our concerns, our interests. Period. A vote for Gagné is a wasted vote. He wins? Ugh.

Harper - pensez-y même pas - il n'est pas notre ami - enfants en prison, avortement et peine de mort sur l'agenda ENCORE? La régression totale!

Le débat était encore entre moi, Mme Bonsant, M. Caldwell et M. Rousseau. M. Rousseau est super génial comme personne. He wants to "rock" the riding. Anyone who wants to rock the riding is fine by me. M. Caldwell est malheureusement entaché par un passé assez coloré au niveau allégance politique - PQ, Conservateur, et maintenant Vert. Faut vraiment se questionner sur où sont ses valeurs - il est poussé par quoi pour changer autant de fois?

Là, la Madame Bonsant... Choquée que moi, le jeune libéral innofensif, l'aie attaquée hier soir. Que voulez-vous, elle se promène comme "libérale"! Au premier débat, elle parlait entre autres du Kyoto, des 3D dans nos relations internationales - tous des termes adoptés sous les libéraux! Bon, fallait qu'elle sorte ses vraies couleurs - assez de cachotteries - et elle a mordu - "je suis séparatiste!" Bon, les gens de Compton-Stanstead - c'est clair - un vote pour Mme Bonsant (comme l'as si bien dit Mme Marois aujourd'hui) c'est un vote pour la séparation. Moi, personnellement, j'en ai assez de cette option. Je pense que nous sommes rendus à un point un peu plus avancé dans la société québécoise, où 85% sont fiers d'être Québécois ET Canadiens!

Fallait aussi marteler la Madame sur son inefficacité comme membre d'un parti politique qui n'a passé que "2" projets de loi privés depuis 18 ans. Oui, le Bloc a le droit d'être présent dans notre système politique (et le 350$ millions n'est pas "mal" dépensé), mais que la Madame se pavane, fière d'un projet de loi qui passera jamais... faudrait qu'elle soit plus franche avec les gens du comté. Nous avons besoin d'un député qui est soit au pouvoir ou à l'opposition officielle (là où les projets de loi privés ont au moins la chance de passer...).

Ses attaques envers moi étaient centrées sur l'effet que je suis "Libéral," responsable de toutes les erreurs de ce parti dans le passé. As I told her last night - sorry - if I was there things would have been different. As the Madame learned - I am not her grandfather's or father's Liberal - I am New Liberal.

En tout cas - je pense que j'ai réussi à faire mon point - le plus fort coté politique et bien à l'aise avec les gens - et montrer que je suis capable de diriger un débat à ma façon. Très content du résultat...

Today, a nice quiet day of door-to-door in Rock Forest. J'ai remarqué plusieurs choses. Premièrement, les gens sont pour la plupart indécis sur cette élection - ils ne veulent pas de Harper, c'est un consensus assez général. Mais ils ne savent pas quelle autre option prendre. Deuxièmement, les jeunes, les jeunes familles, dans les rues où je suis allées aujourd'hui, sont très ouverts à moi, avec ce que j'ai à offrir comme expérience de vie et projets pour le comté.

Et je termine avec le meilleur d'aujourd'hui. Je jasais avec un monsieur d'un certain âge, en train de nettoyer son VR. "T'es William Hogg? Je pensais que t'étais un Anglais? Tu n'as même pas d'accent!" ........

A+

mercredi 24 septembre 2008

Aujourd'hui

Big day today - woke up to find out that Waterville TG, one of the main industrial motors of the riding, was planning on laying off 300+ jobs. Whip out a press-release - our AMP plan for 1$ billion would have looked good right now if we formed the government.

Ensuite St. Isodore de Clifton et un discussion avec une classe de 5-6e année. J'ai ADORÉ ça. Les jeunes (11 ans, comme mon fils) étaient super interessé par la politique. On a discuté de tout - l'environnement, économie, justice, la souvrainété du Québec. Trippant, vraiment...

Interview with Radio-Canada afterwards on the TG layoffs. Then a meeting with the rest of the candidates at Elections Canada.

Annécdote - les cinq, assisent au tour de la table - le journaliste de Rad-Can cogne - il demande M. Gagné (notre conservateur invisible) - on se demande pourquoi, et il reviens très vite...

Et voila pourquoi (http://www.radio-canada.ca/regions/estrie/2008/09/24/001-waterville-tg-restructuration.shtml):

"Ces possibles mises à pied risquent fort bien de se retrouver au coeur de la campagne électorale des candidats dans la circonscription de Compton-Stanstead.

Le candidat libéral, William Hogg, rappelle que son parti a promis de mettre sur pied un plan d'aide de 1 milliard de dollars pour soutenir l'industrie manufacturière s'il est porté au pouvoir.

Pour sa part, la candidate bloquiste, France Bonsant, soutient que son parti a demandé à plusieurs reprises au gouvernement conservateur d'utiliser les surplus budgétaires pour aider davantage les travailleurs touchés par la crise.

Le candidat conservateur, Michel Gagné, n'a pas voulu rencontrer notre journaliste.

Depuis les cinq dernières années, la région de l'Estrie a perdu plus de 11 000 emplois manufacturiers."

Il a REFUSÉ!

Voyons-donc. Il se pense pour qui lui? Il veut vraiment réprésenter les gens du comté?

En tout cas...demain soir, une autre chaise vide pour le débat...

A+

Communiqué/Press Release

(English Message Follows)

Communiqué

Pour diffusion immédiat

William Hogg, candidat libéral dans Compton-Stanstead, réagit à l’annonce de possibles compressions chez Waterville TG

Waterville, le 24 septembre 2008. William Hogg, candidat libéral dans Compton-Stanstead, se dit très préoccupé par la nouvelle parue dans le journal La Tribune de ce matin annonçant que l’entreprise Waterville TG voudrait supprimer 300 emplois à Waterville, Coaticook et Bromptonville.

« Avant tout, je tiens à dire que mes pensées seront avec les employés touchés par ces compressions et avec leurs familles au cours des mois qui suivent. » dit M. Hogg.

«Waterville TG est un moteur économique dans la région, et nous avons besoin de donner aux entreprises les outils nécessaires pour protéger les emplois aujourd’hui. » confirme M. Hogg.

« Tel que spécifié dans notre plate-forme, un gouvernement libéral mettra en place un fonds d'un milliard de dollars, le Fonds pour la prospérité et l’Industrie de pointe (PIP), afin d’aider à consolider nos emplois dans le secteur manufacturier. Nous allons supporter l’investissement dans ce secteur, la recherche et développement, en mettant l’emphase sur les fournisseurs tels que Waterville TG. » ajoute M. Hogg.

« Nous avons perdu plus de 130,000 emplois dans ce secteur depuis l’arrivée des conservateurs au pouvoir. Est-ce que la région peut se permettre d'avoir un gouvernement conservateur qui n'investit pas dans le développement économique régional pour créer de nouveaux emplois, et qui reste les bras croisés quand les emplois existants disparaissent? Certainement pas. » termine M. Hogg.

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Contact : Marie-Sophie Demers 819-345-4572
David Jobin 819-345-9425




Press Release

For Immediate Distribution

William Hogg, Liberal candidate in Compton-Stanstead, reacts to the possible loss of 300 jobs at Waterville TG

Waterville, Sept. 24 2008. William Hogg, Liberal candidate in Compton-Stanstead, is concerned about the report, in La Tribune this morning that Waterville TG plans to eliminate 300 jobs in Waterville, Coaticook and Bromptonville.

“First and foremost, my thoughts are with the employees who may be hit by these compressions and with their families over the coming months.” states Mr. Hogg.

“Waterville TG is an economic motor for the region, and we need to give local manufacturers the tools necessary to protect jobs.” adds Mr. Hogg.

A Liberal government would implement a $1 billion Advanced Manufacturing and Prosperity Fund (AMP) that would help consolidate jobs in the manufacturing sector. “We will be supporting investment in this sector, research and development, with a focus on assistance for suppliers such as Waterville TG.” continues Mr. Hogg.

“We have lost 130,000 jobs in the manufacturing sector since the Conservatives have come to power. How can we consider returning another Conservative government to Ottawa, a government that refuses to invest in regional economic development and stands idly by as existing jobs disappear?” concludes Mr. Hogg.

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Contact: Marie-Sophie Demers (819) 345-4572
David Jobin (819) 345-9425

mardi 23 septembre 2008

Communiqué/Press Release

(English message follows)

Communiqué

Pour diffusion immédiate

William Hogg se demande si Michel Gagné est vraiment le candidat conservateur dans Compton-Stanstead

Sherbrooke (Arrondissement de Lennoxville), le 22 septembre 2008. Pour une deuxième fois de suite, le candidat conservateur ne sera pas présent lors d'un débat des candidats dans Compton-Stanstead. « Je suis stupéfait d'apprendre qu'il sera absent à l'université Bishop's lors de notre prochain débat jeudi soir. Est-ce qu'il se présente toujours aux élections? » demande M. Hogg, candidat libéral dans Compton-Stanstead.

« Encore, il faut se demander si le mot d'ordre de son chef, comme d'autres l'ont confirmé, est de cacher ses candidats locaux », questionne M. Hogg.

Mais d'après l'information reçue par M. Hogg, dans les comtés environnants, les autres candidats conservateurs participeront aux débats locaux. « Si c'est le cas, pourquoi le candidat n'est pas là? »

Lors des entrevues dans les médias locaux depuis le début de la campagne, le candidat conservateur fait croire qu'il veut travailler pour le comté et être à l'écoute des gens. « Mais en se désistant sans cesse des débats, ces paroles ne valent plus rien », soutient M. Hogg. « Le candidat conservateur semble n'avoir aucun intérêt à vraiment travailler pour bien représenter les citoyens de Compton-Stanstead. »

M. Hogg, qui n'a aucune hésitation à participer aux débats dans les quatre coins du comté, en anglais et en français, lance un défi au candidat conservateur : «Présentez-vous à l'université Bishop's jeudi soir – c'est votre responsabilité et votre devoir envers les gens de Compton-Stanstead. »

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Contact : David Jobin 819-345-9425
Marie-Sophie Demers 819-345-4572
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Press Release

For Immediate Release

William Hogg wonders if Michel Gagné is still the Conservative candidate in Compton-Stanstead

Sherbrooke (Lennoxville Borough), Sept. 22, 2008. For a second time in a row, the Conservative candidate will not be present for a debate in Compton-Stanstead. "I was stupefied to learn that he will be absent for the debate Thursday night at Bishop's University. Is he still running in these elections?" asks Mr. Hogg, Liberal candidate in Compton-Stanstead.

"We still have to ask, as others have confirmed, whether Harper's party wants to hide their local candidates." said Mr. Hogg.

But according to information received by Mr. Hogg, Conservative candidates in neighbouring ridings will be present at their debates. "If that is the case, why is he not there?" asks Mr. Hogg.

The Conservative candidate has repeatedly said, in interviews with the local media, that he wants to work hard to win the riding and listen to the people. "By backing out repeatedly for these important debates, his word has no value" asserts Mr. Hogg. "The Conservative candidate seems to be disinterested in doing what it takes to represent well the citizens of Compton-Stanstead."

Mr. Hogg, who is willing to debate, in English and French, in the four corners of the riding, challenges the Conservative candidate: "Show up at Bishop's University on Thursday night – it is your obligation and responsibility towards the people of Compton-Stanstead."

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Contact : David Jobin (819) 345-9425
Marie-Sophie Demers (819) 345-4572

lundi 22 septembre 2008

Another day

another 300 kms on the Mazda 3...Dudswell, Weedon (meeting with the Mayor, door to door for a couple of hours), Gould, Scotstown.

Ça annonce bien cette semaine! Ça va bouger - autrement...maintenant!

Cheers,
William

dimanche 21 septembre 2008

Deuxieme semaine de campagne

Ouf...ça passe vite une campagne...
Aujourd'hui, mon ami Marc Garneau était de passage chez moi au Piggery à North Hatley...it is always good to see my good friend (and of course Fabrice too!!!)...


Après une autre semaine de campagne, je peux constater plusieurs choses:

1. Le candidat conservateur dans Compton-Stanstead n'est pas LÀ! Il ne fera pas de débats - "I don't like debates, all they do is argue!" (CBC Radio - he said it on the radio!!!) Wa? Il n'assiste pas aux évènements du comté. Il est seulement une photo sur une pancarte? Harper veut cacher ses candidats locaux - bravo - celui d'ici participe à fond!!!!!

2. Mme Bonsant n'aime pas ça quand j'arrive à un évènement en même temps qu'elle - et ça paraît énormement! St. Elie hier soir - on aurait du filmer son visage quand je suis rentré... J'ai très hâte au débat de ce jeudi. North Hatley plutôt cette semaine était un "test run" - pas de place pour des échanges entre les candidats - we were feeling each other's positions...

3. Jean Rousseau, candidat du NPD, a l'air d'un bon gars, mais il est un peu dépassé par cette course - il n'était pas à l'aise au débat, il n'y a pas de pancartes...

4. Gary Caldwell a encore la cote, même si les gens ne savent pas encore pour quel parti il se présente (really, he is with his third political party - come on Gary, are you going to run for the NDP next time? Oh, right, not socially conservative enough...)

Donc, d'après moi (et les journalistes) la course est entre moi et Mme Bonsant.

Ça m'amène à me poser plusieurs questions:

1. Est-ce que les gens qui votent féderaliste vont faire le choix d'élire quelqu'un du coin, qui est présent sur le terrain, ou est-ce qu'ils vont juste regarder la campagne nationale (que mon chef fait quand même très bien)? Je lance un défi à ces gens - votez localement - pour celui qui peut vraiment représenter vos interêts...

2. Est-ce que les gens "nationalistes" qui ont des valeurs libérales vont choisir Mme Bonsant, qui représente un parti en voie de disparition, avec une vision de la nation québécoise restreinte et exclusive (elle ne comprend pas que la nation comprend aussi les anglophones, les allophones, et les premières nations... mais ça c'est pour une autre discussion...)? Ou est-ce qu'ils vont choisir un candidat qui est à la fois "libéral" ET "nationaliste"?

3. Est-ce qu'il va y avoir un débat dans Compton-Stanstead en FRANÇAIS? Où sont les francophones du comté qui veulent savoir ce que leurs candidats pensent???? North Hatley, Bishop's, et...rien d'autre???

4. Pourquoi les gens ne comprennnent pas le Tournant Vert? SVP, allez voir http://www.letournantvert.ca/ pour étudier un peu notre plan - c'est fort simple - baisses d'impôts et programmes sociaux (l'argent dans vos poches et une meilleure vie), motivations et assistances pour réduire votre production de gaz à effet de serre (l'argent pour réduire vos factures d'énergie), et taxe sur la pollution (qu'on n'aime pas du tout). Ça ne peut pas être plus facile que ça.

5. Pourquoi les médias s'interessent pas à ce que le Parti libéral sort comme programmes? (Pourtant, à partir de demain matin, 11h, nous allons être le seul parti AVEC une plate-forme.) Par exemple, cette semaine nous avons lancé un plan pour aider les muncipalités. Jean Perrault, maire de Sherbrooke et président de la FCM, en a fait l'éloge. PERSONNE n'en parle. PERSONNE. J'envoie un communiqué aux médias - résultat - une entrevue, et Radio-Canada qui me demande une clarification (ils n'étaient pas capables de trouver le communiqué de M. Perrault.........).

Bon, j'arrête. Enough complaining. Had a good week - 13 activities, hit 17 municipalities, started door-to-door. And Thursday is coming up (debate at Bishop's). PLUS, there may be a surprise Wednesday, but we'll see...

Bonne nuit!

Cheers,

William

WOW!

http://www.youtube.com/watch?v=UrATQeLLKX0&eurl=http://www.radio-canada.ca/nouvelles/surLeWeb/index.shtml.

vendredi 19 septembre 2008

Un peu occupé...

mais je vais faire des mise à jour de la semaine bientôt...

Communiqué/Press Release

Communiqué
Pour diffusion immédiate
Infrastructure : William Hogg réagit aux déclarations de M. Jean Perrault, président de la FCM

North Hatley, le 19 septembre 2008. En réaction à l’annonce faite hier par le maire de Sherbrooke et président de la fédération canadienne des municipalités (FCM), Jean Perrault, le candidat libéral dans Compton-Stanstead, William Hogg, souligne l’importance que le Parti libéral du Canada a toujours accordée aux questions de l’infrastructure. «Notre parti comprend très bien les enjeux municipaux. Dans notre comté, je m’engage à aider nos municipalités, que ce soit sur le traitement d’eau, les routes, ou pour le transport publique.», précise-t-il.

Selon M. Hogg, le Parti libéral du Canada a toujours démontré sa bonne foi en collaborant avec les provinces pour soutenir les municipalités. « Les programmes de remboursement de la TPS et de partage des recettes de la taxe sur les carburants témoignent de l’engagement du Parti libéral du Canada envers nos municipalités », ajoute-t-il. « Cette année, le chef du Parti libéral du Canada, Stéphane Dion, a aussi annoncé qu’un nouveau gouvernement libéral redirigerait vers les municipalités tout surplus budgétaire dépassant trois milliards de dollars. »

Hier, le Parti libéral a annoncé un plan inédit concernant le financement des municipalités. « Ce plan répond à la plupart des demandes posées par la FCM. » souligne le candidat libéral dans Compton-Stanstead. « 70$ milliards sur 10 ans, plus les transferts de la taxe sur l’essence, le remboursement sur la TPS, et la garantie sur les surplus budgétaires. Nous avons écouté les municipalités, et là, nous agissons. »

Dans un communiqué de presse aujourd’hui, M. Perrault a souligné que le plan libéral pour les municipalités couvre quatre éléments clef – une vision à long terme des besoins municipaux, la protection des investissements courants, le support pour le transport publique, et des fonds dédiés aux communautés rurales. « M. Perrault voit très bien comment un gouvernement libéral peut faire avancer sa cause. De mon côté, je voudrais que la FCM et le Parti libéral du Canada, en collaboration avec les provinces, travaillent ensemble pour que nos municipalités soit capables de nous offrir des services fiables, de qualité, avec des budgets assurés. Enfin, si nous sommes capables d’accomplir cette tâche, c’est nous, les résidents de nos municipalités, qui vont être les premiers à en bénéficier. » conclut M. Hogg.

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Renseignements : David Jobin 819-345-9425
Marie-Sophie Demers 819-345-4572



Press Release
For immediate distribution

Infrastructure: William Hogg reacts to the declaration by Mr. Jean Perrault, President of the FCM

North Hatley, September 19, 2008. In reaction to the announcement made yesterday by the Mayor of Sherbrooke and President of the Federation of Canadian Municipalities, Jean Perrault, Liberal candidate in Compton-Stanstead, William Hogg, recognizes the vital importance of supporting municipal infrastructure. “The Liberal Party of Canada understands the needs of municipalities. I will stand up for our local municipalities in the riding, whether on issues of water management, roads, or public transit.” explains Mr. Hogg

According to Mr. Hogg, the Liberal Party of Canada is strongly committed to supporting municipalities in collaboration with the provinces. « Programs such as the GST reimbursement and sharing of the gas tax are witness to the priority that the Liberal Party places on municipalities, » he adds. « Earlier this year, the leader of the Liberal Party of Canada announced that a new Liberal government would transfer all budget surpluses surpassing $3 billion to Canadian municipalities. »

Yesterday, the Liberal Party of Canada released an innovative platform dealing with financing for municipalities. “The announcement responds to most of the demands of the FCM.” adds the Liberal candidate in Compton-Stanstead. “$70 billion over 10 years, plus the GST rebate and the sharing of the gas tax, as well as the promise on future budget surpluses. We have listened to municipalities, and now we are acting.”

In a press release today, Mr. Perrault congratulated the Liberal Party for releasing a plan that includes a long-term vision for municipalities, a guarantee of current funding, public transit investments, and funding for rural municipalities. “Mr. Perrault understands that a Liberal government can help him in his cause. My vision would be to see the FCM and the Liberal Party of Canada, in collaboration with the provinces, work together to ensure that municipalities can offer reliable and high quality services, with stable budgets. If we are able to achieve this task, we, the residents of our local municipalities, will be the first to benefit.” concludes Mr. Hogg.

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Contact: David Jobin 819-345-9425
Marie-Sophie Demers 819-345-4572

mercredi 17 septembre 2008

Press Release/Communiqué

(English message follows)

Communiqué

Pour diffusion immédiate

William Hogg déplore l’absence du candidat Conservateur lors du premier débat dans Compton-Stanstead

Sherbrooke (Arrondissement de Lennoxville), 16 septembre, 2008. C’est avec grande déception que William Hogg, candidat libéral dans Compton-Stanstead, a appris le désistement mystérieux de Michel Gagné, candidat Conservateur, lors du premier débat des candidats dans Compton-Stanstead.

“Nous vivons dans une démocratie, et une campagne électorale est le moment pour débattre des idées et se positionner sur les préoccupations des gens du comté.” affirme M. Hogg.

Le désistement du candidat, au dernier moment, démontre que le mot d’ordre des conservateurs pour ces élections est de cacher leurs candidats locaux. “M. Harper veut tout contrôler, et le candidat dans Compton-Stanstead, par ses actions, viens de confirmer qu’il n’y a qu’un seul candidat Conservateur dans ces élections - son chef.” lance M. Hogg. “Je suis bien sûr prêt à débattre Stephen Harper à sa convenance!»

« Je suis prêt à discuter, à n’importe quel moment, de tous avec mes adversaires. Le parti Conservateur délaisse les gens de Compton-Stanstead, les québécois et québécoises, ainsi que les canadiens et canadiennes. Ils méritent mieux que ça!” conclue M. Hogg.

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Press Release

For Immediate Release

William Hogg deplores the absence of the Conservative candidate for the first debate in Compton-Stanstead.

Sherbrooke (Lennoxville Borough), Sept. 17, 2008. William Hogg, Liberal candidate in Compton-Stanstead, is deeply disappointed by the mysterious absence of Michel Gagné, Conservative candidate, for tonight’s first debate.

« We live in a democracy, and an election campaign is the moment to debate ideas and to take position on issues that affect the people of the riding. » affirms Mr. Hogg.

For the Conservative candidate to back out at the last moment shows that, during this election, Harper’s party wants to hide their local candidates. « Once again, Mr. Harper wants to control everything, and candidate in Compton-Stanstead’s actions confirm that there is only one Conservative candidate during these elections – his leader. » says Mr. Hogg. « I am of course ready to debate Mr. Harper at his convenience! »

« I am ready to discuss any electoral issue with all my adversaries. Le Conservative Party has abandoned the people of Compton-Stanstead, Quebecers, and Canadians. They deserve so much better than that. » concludes Mr. Hogg.

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lundi 15 septembre 2008

Sunday and Monday

Salut!

Ça roule! Dimanche j'ai commencé avec un brunch à l'église United d'Ayer's Cliff - 60 personnes du sud du comté. Des gens pour qui leur identité est très liée à notre réalité locale - notre terre, notre eau, notre paysage. Des gens avec qui j'ai beaucoup d'affinités. Des vrais gens de Compton-Stanstead.

Ensuite chez Denis Coderre à Bourassa. Son lancement m'a beaucoup impressionné, et la famille libérale était très bien présente (et en plus j'étais le candidat libéral qui a fait le plus de kilométrage pour y aller!!!!).

Today - East-Angus and Cookshire. At both events my Bloc opponent France Bonsant was present. Inside scoop: she and I made a bet back in July on whether there would be a fall election...I won. The prize - a beer at the Lion, which we will take together at some point in the VERY near future!

Then I made the trek to La Patrie, Chartierville, St. Malo, East Hereford and St. Herménégilde. Stopped in to see the postal workers and what municipal offices were open. I must say, if signs matter, it is between myself and Mme. Bonsant in most parts of the riding.

Those villages and the surrounding area are beautiful parts of the riding, though sparsely populated. But these folks are important for our region - making sure that even the farthest points from urban centres are populated. We need to make sure that they can stay in their villages and ensure that they can prosper at the same time!

Finished the day in Coaticook - toured a distribution centre where the main talk is about China and their imports - I can talk all day about how we can meet the challenge of the BRICs (Brazil, Russia, India and China). But we have choices to make, and in order to make the best ones, we need to have a public debate. Those are coming!

Then at the Lamoureux GM dealership. Wow, never knew that so many employees in one place could all be Liberal ;)...

En tout cas, si toutes mes journées sont comme celle-là - j'adore les campagnes électorales!!

Cheers!

samedi 13 septembre 2008

Jour 7




Already one week! On ne lâche pas!
Today - Community Day in Stanstead. Stanstead is one of my favorite places to visit - down-to-earth folks who love their community! My kids had a great time on the rides, and got to meet a few new residents of the region.

Luckily it turned sunny, and there was a good turn-out!
Let's just say it was a miracle that I made it to Bishop's for the kick-off for the season opener. But made it none-the-less. All the notables were there - Mayor Jean Perreault from Sherbrooke, several town councillors, including Doug MaCauley from Lennoxville, the new Principal from Bishop's, Tim Belford from CBC Radio, among many others.

Ensuite, mon fils, ses amis et moi sommes partis poser des pancartes dans le coin de Rock Forest. En route, j'ai expliqué aux jeunes que oui, M. Duceppe, Mme. Bonsant et cie. sont mes adversaires politiques. Mais quand les enfants se sont montré agressifs envers eux, je leur ai dit que non, ce n'est pas comme ça qu'on fait de la politique - on n'attaque jamais la personne - on attaque leurs idées. Bonne leçon civique pour la journée!!!

vendredi 12 septembre 2008

Jour 4 et 5

Ouf! C'est parti! Hier c'etait mon lancement officiel et ça a super bien été!

Belle couverture médiatique, belle ambiance. Denis Coderre a été tel qu'on le connait. Anti-Harper, our front man on culture.

My campaign themes were presented as well:

Feu, Air, Terre, Eau et notre place dans le monde.

Je vais présenter, au cours des prochaines semaines, les détails de mon plan pour chacun de ces thèmes. Attendez-vous à des choses pas mal intéressantes..........

Today was a bit more quiet - signs in Waterville, Hatley and meeting with local residents on the way. Lunch in Stanstead, and then a break before a fundraiser at the Piggery Theatre tonight, and then a quiet night celebrating my son's 11th birthday...

À demain!

mercredi 10 septembre 2008

Tomorrow/Demain

Demain c'est lancement officiel de ma campagne:

92 rue Queen, suite 102
Arrondissement de Lennoxville
Sherbrooke
13h30-14h30

Denis Coderre is my special guest.

Cheers all!!!

Day 3/Jour 3

Yesterday I recieved my posters! I will post a photo on my site later today.

On arrive d'un blitz pancartes - debout à 4h00 du matin - sur la route de Deauville et Rock Forest. Le levé du soleil était superbe!

Coaticook ce matin, mais demain, c'est le lancement officiel de ma campagne! Plus de détails tantôt.............

mardi 9 septembre 2008

Gun control and campaign launch

Bon, j'arrive de Montréal - grosse journée en perspective. À 13h00 rencontre au bureau de campagne de Marc Garneau à Westmount, avec notre chef. Vous avez certainement entendu la sortie sur les armes à feu - tellement nécessaire vu l'inaction des conservateurs.

In Saint-Laurent-Cartierville, I was proud to be among the 74 candidates with the Mr. Dion on the stage. I have said this before and will continue to say it - I am extremely proud to represent the Liberal Party of Canada in this election, whatever the polls say. It is a grand insitution in this country, et de porter les couleurs de cette Parti me rend très, très fier...

W.

lundi 8 septembre 2008

Jour 2

Ce matin j'ai mon premier "hit" media (dans La Tribune).

Aujourd'hui s'annonce assez chargé au niveau du Parti - journée à Westmount et ensuite à St. Laurent-Cartierville pour le lancement officiel de la campagne au Québec.

Tough reading the polls this morning, then again, as someone who teaches methodology, polls that call 450 people in the province don't really tell much of a story....

A+

dimanche 7 septembre 2008

Day 1

Quiet day. Brunch in Ayer's Cliff...tourné vite sur la Main. Ensuite Coaticook...match de football entre Le Summum de l'école La Frontalière et Magog, entrevues...so the campaign starts...

Communiqué/Press Release

Bon, ça y est! On y va pour le 14. Pendant les 38 prochains jours, je vais, du mieux que je peux, vous garder au courant de comment ma campagne se déroule, ici sur mon blogue. Ça va être une campagne trippante, engagée.

38 days on the road criss-crossing the riding, selling a message that I am convinced will speak to the citizens of Compton-Stanstead. I will post as much as possible - all the ups and downs of rural campaigning, urban campaigning. I will advice on my website and on facebook, as well as here, of upcoming events.

Donc, souhaitez-moi bonne chance - wish me luck!

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(English version follows)

Communiqué

Autrement. Maintenant.
William Hogg est prêt pour la campagne.


Pour diffusion à 9h00 le 7 septembre 2008.

Sherbrooke, le 7 septembre 2008. William Hogg, candidat pour le Parti libéral du Canada dans la circonscription de Compton-Stanstead, se dit prêt et déterminé en vue de la campagne qui s’amorce.

« Ce matin, le Premier ministre conservateur a brisé sa propre loi sur les élections à date fixe en demandant la dissolution du 39e parlement. », a souligné M. Hogg. « Les québécois et les québécoises ne sont pas dupes. Ils savent très bien que la seule raison de cette élection précipitée est que le Premier ministre veut obtenir le gouvernement majoritaire qui lui permettrait d’implanter son idéologie de droite. »

D’après M. Hogg, le moment est mal choisi par le Premier ministre pour déclencher des élections fédérales. « Dans les prochains jours, le Parti libéral du Canada va présenter à l’électorat une plate-forme des plus progressives. Je sais que ce programme va nous permettre de rejoindre les préoccupations et le cœur des québécois et des québécoises. »

Contrairement à l’information véhiculée dans certains médias, M. Hogg soutient que le Parti libéral du Canada, dans les Cantons-de-l’Est et surtout dans Compton-Stanstead, est dans une situation favorable pour faire une campagne gagnante. « Comme vous le savez, nous devrons relever des défis importants dans les années à venir, de l’environnement à la mondialisation en passant par l’agriculture et les infrastructures. Ces défis, je les ai regroupés sous cinq grands thèmes que j’ai l’intention de vous dévoiler dans les prochains jours. Des thèmes qui, vous le constaterez, sont inspirés de la vision et des rêves des gens de Compton-Stanstead. »
Le rôle de M. Hogg, comme il le dit avec ferveur, est d’assurer que Compton-Stanstead soit représenté le mieux possible à la Chambre des communes et de faire en sorte que la vision et les rêves de sa population deviennent réalité. Il connaît et comprend les préoccupations des gens de son comté, que ce soit au niveau de la politique nationale de l'eau, du soutien aux petits et moyens producteurs agricoles ou de la viabilité démographique des communautés rurales dans la région.
C’est pourquoi William Hogg annonce aujourd’hui avec fierté le thème principal de sa campagne électorale :

AUTREMENT. MAINTENANT.

« Le moment est venu de réinventer le politique », précise-t-il. « Les gens en ont assez des vieux débats et de la politique négative. C’est maintenant aux citoyens de Compton-Stanstead de se prononcer pour leur avenir et celui de leurs enfants. En votant pour moi, les gens s’offrent une vision différente de l’avenir, une vision qui correspond à leurs valeurs et concrétise leurs rêves. »

Contact :

Marie-Sophie Demers (819) 345-4572
David Jobin (819) 345-9425

william@williamhogg.ca
www.williamhogg.ca


Press Release

A New Way. Right Away.
William Hogg is ready for the campaign.

For release 9:00am, September 7, 2008

Sherbrooke, September 7, 2008: William Hogg, Liberal Party of Canada candidate in Compton-Stanstead, is more than ready for the campaign.

“This morning, the Prime Minister has broken is own legislation on fixed election dates by asking for the dissolution of the 39th Parliament.” said Mr. Hogg “Quebecers are not blind. They clearly understand that he has called this election for one purpose and one purpose only – to gain that illusive majority that will allow him to irreversibly change the face of our country.”

According to Mr. Hogg, the Prime Minister has misjudged the time of this election: “In the coming days, the Liberal Party of Canada will release a progressive platform. This platform will allow us to reach the hearts and minds of all Quebecers.”

Contrary to recent media reports, Mr. Hogg emphasizes that the Liberal Party of Canada in the Eastern Townships, especially in Compton-Stanstead, is more than ready to run a winning campaign. “We all understand that we are facing important challenges in the near future – from the environment to globalization, from agriculture to infrastructure. I have grouped these challenges into five campaign themes, which I will release over the next 38 days. These themes are inspired by the vision and the dreams of the citizens of Compton-Stanstead.”

Mr. Hogg’s role, once elected as Member of Parliament, is to ensure that Compton-Stanstead is as well represented as possible in the House of Commons, in order to ensure that the vision and the dreams of its citizens can be realized. He understands the concerns of his riding, from issues of water management, supporting small and medium agricultural producers, to demographic viability of rural communities in the region.

This is why, today, William Hogg is proud to announce his campaign theme for the next 38 days:

A NEW WAY. RIGHT AWAY.

“The time is ripe to reinvent the way we do politics.” according to Mr. Hogg “People are tired of old debates and negative politics. The citizens of Compton-Stanstead can choose how they see their future and the future of their children. If they vote for me, they are choosing a different vision for the future, a vision that corresponds with their values and their dreams.”

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Contact:

Marie-Sophie Demers (819) 345-4572
David Jobin (819) 345-9425

william@williamhogg.ca
www.williamhogg.ca